Devant les journalistes, les forces vives de la Tshopo ont tracé une ligne d’impasse et de regret d’avoir porté son dévolu en soutenant les nouveaux dirigeants de la Tshopo.
David Yofemo, président de cette structure d’appui à la démocratie, a soupiré d’un ton d’amertume que le gouverneur de la Tshopo s’active pour remettre cette province à son état initial, l’état celui dont la voirie était maintenue.
“Les bus des transports publics jadis annoncés avec pompe dans son discours programme, vont-ils rouler sur quelle voirie?” s’est lamenté le président des forces vives.
Et d’ajouter:
“Non aux manœuvres dilatoires, c’était une erreur d’avoir dénoncer certaines manœuvres à la cour d’appel à l’endroit de l’actuel gouverneur lors de son élection à la tête de la province en croyant avoir le soucis de faire décoller la province.”
Dans le reste, la société civile accuse l’actuel exécutif de la Tshopo d’entretenir un mauvais climat des affaires, trafics d’influence dans l’administration de la province, et biens d’autres manœuvres qualifiées des “dilatoires”.
Serge Sindani (@sergesindani01)|ICI KIVU